Si l’alchimie n’avait jamais eu pour objet que ce double rêve de la cupidité et de la faiblesse, le secret de convertir tous les métaux en or et celui de prolonger à volonté la vie humaine dans un corps exempt de douleurs et d’infirmités, je me garderais bien d’évoquer le souvenir d’un art aussi chimérique, et, s’il ne l’était pas, aussi dangereux. Mais elle s’est proposé, à un certain moment, un but plus élevé et plus sérieux. Entraînée par ses illusions mêmes à la recherche...
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