ROSEE :
Si notre traité d’alchimie s’avère le premier qu’ait jamais ouvert le lecteur, il pensera peut-être à une coquille, et qu’après le rouge du Languedoc, c’est probablement du rosé que nous allons parler. Il n’en est rien, c’est bien de la rosée. Chez quelques auteurs, elle prend un sens métaphorique, mais nous ne développerons que celui de « condensation atmosphérique », n’oublions pas que l’alchimiste est un jardinier.
... une rosée abondante, nous dit Belèze2, par un temps découvert et calme, doit faire espérer la continuation du beau temps. Au contraire, la pluie est prochaine, si par un temps découvert et calme, il n’y a pas de rosée...
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