
Anton Kirchweger (mort en 1746) était l’éditeur ou l’auteur du livre très influent Aurea Catena Homeri (Chaîne d’Or d’Homère). Le livre a été lu par piétistes et plus tard a influencé le jeune Goethe . Il a d’abord été édité à Leipzig en 1723, en langue Allemande, suivie par d’autres éditions : 1723, 1728, 1738 et 1757 (édition latine). Une autre version latine a été publié à Francfort en 1762. Quelque part dans la fin du XVIIIe siècle Sigismond Bacstrom traduit parties de l’ouvrage en anglais. En 1981, une partie de la traduction a été publiée dans la Société Théosophique Journal « Lucifer ».
Anton Kirchweger (mort en 1746) était l’éditeur ou l’auteur du livre très influent Aurea Catena Homeri (Chaîne d’Or d’Homère). Le livre a été lu par piétistes et plus tard a influencé le jeune Goethe . Il a d’abord été édité à Leipzig en 1723, en langue allemande, suivie par d’autres éditions : 1723, 1728, 1738 et 1757 (édition latine). Une autre version latine a été publié à Francfort en 1762. Quelque part dans la fin du XVIIIe siècle Sigismond Bacstrom traduit parties de l’ouvrage en anglais. En 1981, une partie de la traduction a été publiée dans la Société Théosophique Journal « Lucifer ».
Comme dans la première partie j’ai traité, d’une manière générale et universelle, de la génération de toutes choses, je ne traiterai de même dans cette seconde partie, que d’une manière générale et universelle de leur destruction : chacun en pourra tirer des spéculations particulières. Je n’avance rien qui ne soit appuyé sur l’expérience, et je ne donne aucun procédé que je n’aie pratiqué de mes propres mains. Si quelqu’un en est éclairé et parvient au but désiré, qu’il en rende grâce à Dieu, auteur et dispensateur de tous les biens, et non à moi ; qu’il s’applique avec cela à pratiquer toute sa vie le principal commandement de Dieu, la charité envers le prochain, sans distinction d’amis ou d’ennemis Comme je n’attribue ce que je sais, ni à mon mérite, ni à mon travail, mais uniquement à la bonté divine ; je le communique comme un talent qu’elle m’a confié, à ceux qui mettent leur espérance en elle, et qui joignent à la droiture du cœur l’amour du travail et la fermeté. S’ils ne vont pas droit au but, ils doivent m’excuser, puisque je ne puis pas travailler avec eux ; qu’ils ne désespèrent cependant pas de la réussite ; aucun fruit ne devient mûr avant son temps, et, de même qu’un enfant ne peut agir comme un homme fait, un apprenti en alchimie ne peut travailler comme un Philosophe. Il sera toujours vrai de dire errando discimus et imperfecti per tempus perfecti efficimur...
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